L’association AZB relaie l’alarme des personnes EHS

En rappel : les personnes électrohypersensibles (EHS), souffrant d’intolérance aux champs électromagnétiques artificiels sont privées de toutes les libertés fondamentales garanties par l’article 25 de la déclaration universelle des droits de l’homme comme le droit au logement et le droit à la santé.

Le droit de chacun de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé, tel que proclamé par l’article premier de la Charte de l’environnement, présente le caractère d’une liberté fondamentale au sens de l’article L. 521-2 du CJA.

L’ANSES, en mars 2018, a évalué la prévalence de ce syndrome à environ : 5% 1 de la population touchée à des degrés divers, soit 3.5 millions de Français.

N’oublions pas que ce syndrome affecte chaque jour des personnes qui jusque-là supportaient les champs électromagnétiques artificiels : nous sommes tous concernés par le problème, avec une augmentation permanente de ces expositions avec le foisonnement des objets connectés et les EHS sont des lanceurs d’alerte !

A ce propos, il va y avoir un recrutement imminent de volontaires pour participer à la recherche intitulée «améliorer le recueil des données cliniques pour l’étude de l’hypersensibilité aux champs électromagnétiques» coordonné par l’ANSES : le recrutement débutera par le Finistère et les Côtes d’Armor, puis sera poursuivi sur le département du Rhône, les secteurs Nord-Isère et Sud de l’Ain, que ceux qui souhaiteraient y participer qu’ils nous le fasse savoir !

Veuillez trouver ci-joint le communiqué, sur le site de l’association AZB crée en 2012 afin de promouvoir l’idée et la nécessité d’un maintien de  « zones blanches », pour les personnes électro hypersensibles, qui sont le public qui compose en partie l’association mais aussi et surtout le public visé par celle-ci : http://asso-zonesblanches.org/

URGENCE VITALE PERS SENSIBLES ONDES 08.11.22.pdf