Particules fines – pollution atmosphérique et risques sanitaires

 

 

Air atmosphérique : trop de particules fines dans l’air des villes

Malgré les réseaux de mesure de la pollution atmosphérique dénommés Réseaux ATMO les périodes de pollution dans les sites urbains ne diminuent ni en nombre ni en fréquence et ce tout au long de l’année.

Les types de pollutions varient dans l’année en fonction des activités humaines (trafic routier, modes de chauffage etc..) et de l’ensoleillement : l’hiver on a de fréquents pics de pollution de type particulaire très préjudiciables pour la santé, tandis que l’été ce sont les pics de pollution à l’ozone qui sont les plus fréquents.

L’AFSSET(Agence française de sécurité de l’environnement et du travail) a rendu un avis au printemps soulignant tout particulièrement qu’il n’y a pas de seuils en dessous duquel il n’y a pas d’effet des particules sur la santé humaine, et que d’ailleurs c’est l’exposition chronique à la pollution qui cause le plus de dommages à la santé, sous forme de maladies respiratoires et cardio-vasculaires.